Si vous avez toujours voulu avoir un guide sur la façon d’organiser votre processus de traduction, vous cet article est pour vous ! Voici la première partie d’une longue liste d’importants conseils :
1. Assurez-vous d’avoir tous les documents de référence nécessaires à portée de main, comme de bons dictionnaires et glossaires.
2. Faites un usage efficace du temps : ne consacrez pas tout votre temps à la traduction. Laissez un peu de temps pour l’édition et ne livrez jamais une traduction sans l’avoir préalablement passée en revue.
3. Sélectionnez des mots à vérifier. Ensuite, vous pouvez faire vos recherches d’une seule foi, sans avoir à constamment interrompre le processus de traduction. Recherchez d’abord les mots dans un dictionnaire monolingue, si l’on part du principe que vous ne pouvez pas traduire un mot vous, la première chose est de le comprendre. Ensuite, vous pouvez rechercher des traductions possibles dans vos sources d’information de confiance.
4. Les noms propres à eux seuls méritent une phase de recherche. Vous devez vous assurer que les noms des personnes citées sont correctement orthographiés (ne jamais croire que juste parce qu’ils sont dans le texte original, cela signifie qu’ils sont corrects). Il en va de même pour les noms géographiques, les mouvements historiques, les périodes, et ainsi de suite.
5. Ne restez pas bloqué(e) sur les mots que vous avez des difficultés à traduire. Il est préférable de laisser une traduction provisoire (que vous pouvez surligner avec une couleur différente, en vert, par exemple) et ensuite revenir à ce mot plus tard, quand vous avez plus de contexte, qui vous aidera à trouver la traduction correcte. Ne laissez jamais des espaces vides, points d’interrogation, X, ou d’autres signes qui peuvent facilement passer inaperçus lorsque vous effectuez votre livraison finale (sous la pression, ils semblent toujours à jouer à cache-cache).
6. Traduisez par niveaux de difficulté : si vous trouvez que certains paragraphes sont plus faciles, vous devriez commencer par ceux-là. Il n’existe aucun moyen simple de faire une traduction et donc, elle n’a pas forcément à être linéaire. Vous pouvez même sauter des passages qui sont difficiles, aller directement à la fin du texte et étudier un peu plus cette partie, si cela peut vous éclairer sur le sujet. Encore une fois, votre objectif est de ne jamais rien laisser en blanc ou incomplet, de sorte que dès que vous avez fini avec les couches plus facile du texte, vous pouvez passer aux plus complexes.
Si vous souhaitez obtenir des conseils supplémentaires, ne manquez pas le prochain article !